Rive du Lez à Palavas – Le temps est maussade, ce dernier lundi de mai. Il est 16H40, ce qui signifie qu’il reste vingt minutes pour rédiger le papier avant le bouclage. Hélas, encore aucune réponse aux questions.
Dans ces méandres administratifs, ce n’est pourtant pas faute d’avoir cherché un contact éclairant, éclairé. Le sujet de l’article est pourtant d’une grande simplicité, l’enquête limpide, à priori tout coule de source, avec légèreté et transparence comme au fil de l’eau : clair comme de l’eau de roche.
Au niveau photo, c’est dans la boite, quelques photographies sont prêtes. A cette heure précise, se pointe « un naufrage journalistique ». Trois questions restent cruellement sans réponse. Le vide, le néant…