
Petites bonnes nouvelles
Dans la grisaille de la pandémie, il y a quelques bonnes nouvelles.
Dans la grisaille de la pandémie, il y a quelques bonnes nouvelles.
Petite note qui a son importance pour toutes celles et ceux qui souffrent d’une déficience de réseau, de vision, d’impression…
Pour cause de confinements successifs, les rencontres, les prises de vues deviennent impossibles. Comme j’aime le contact, la diversité les échanges mais aussi écouter et raconter des histoires, alors j’ai décidé d’en inventer une.
Il n’y a pas de mal à se souhaiter le meilleur pour 2021 !
Une belle matinée, de belles activités entre amies, puis heureuse, retour à la maison. Dans les bras de son mari, Annette, Mémé, Maman a brusquement tiré sa révérence. Violente fulgurance, profonde tristesse, déchirante douleur !
Fuir le confinement, besoin d’air frais, d’oxygène, de nature et de naturel ? Voici quelques photos prises lors d’une petite sortie opérée dans le cadre réglementaire.
C’est l’automne, la mer est calme plage des Aresquiers entre Villeneuve les Maguelone et Frontignan dans l’Hérault – Photographies de la lumière du soir.
Au pays des terres rouges, l’homme blanc avait construit un village gris, puis il l’a détruit pour le noyer.
Au fil du temps, prise des clichés en noir et blanc de quelques endroits parisiens.
Petite semaine de drague photographique autour de la Forclaz en Haute-Savoie, prises de vues en noir et blanc, étrange sensation du marin qui regarde la montagne…
Clac sourd, sec, métallique, la porte à barreaux s’ouvre. Malik fait son entrée. C’est sa première fois. Il a 19 ans. Il en a pris pour 6 ans.
Rencontre totalement improbable, en plein mois d’août et en plein Larzac, devant la librairie éphémère « la brebis qui lit»,, du hameau de Montredon avec Martin Barzilaï, photo reporter.
A propos de la série Sur le plateau du Larzac, à Montredon, tous les mercredis de juillet et d’août, se tient le marché paysan. La rareté de l’évènement est un prétexte pour une série d’articles en sept épisodes décrits en fin de la page.
Teint terne, traits fatigués, l’air tendu, Sofiane, 24 ans est encadré par deux policiers. La présidente du tribunal l’interroge. Sa version ne semble pas aller de soi.
Disloquée, étriquée, anéantie, défigurée, délaissée, abandonnée, perdue, recluse, est-ce aussi la France ? Exposition virtuelle à partir du 1er Mai 2020.
Il y a deux ans, j’ai écrit une série d’articles sur la thématique « entre deux eaux », consacrés à la vie autour des berges et des canaux dont un reportage photo autour d’un drôle d’engin échoué sur une berge du Lez que j’avais intitulé « Naufrage de l’amitié ».
Avoir de la matière, taper dans le dur. Voici quelques clichés tout simple. Poser son regard et prendre de la hauteur. S’offrir un moment juste pour regarder. Simple curiosité. On entame une série sur la matière. Aujourd’hui c’est la pierre, la roche, bref on tape dans le dur.
C’est aussi la France ! Parfois tout commence par le détournement d’une nationale ou son remplacement par une autoroute gratuite. La fin du passage est comme un arrêt de circulation du sang dans les veines, c’est la fin du commerce et la station-service époumonée ne peut plus se battre, elle disparait.
Entends-tu le bruissement du feuillage dans la brise chaude du sud ? Écoutes le grillon qui chante ! Au loin la cigale se cache
C’est avec un style très néo-byzantin que trône à Marseille, face à la Méditerranée la cathédrale Sainte-Marie-Majeure dite La Major. Louis-Napoléon Bonaparte en pose la première pierre le 26 septembre 1852.
De l’air, de l’iode, de l’eau, voici le mistral qui vous pousse au large.De l’air, de l’iode, de l’eau, voici le mistral qui vous pousse au large.
Confiné en terres occitanes. Petit matin de printemps sous la pluie, la brume et l’air frais. Le vert suinte et dégouline partout
Tourisme virtuel, 10 jours autour d’une ville mystère
Reportage indiscret à Paris
Méditerranée six photos, un message.
Balade en bord de mer et rencontre répétitive avec un objet usuel qui n’a rien à faire là. Serait-ce un signe philosophique ?
Comment sera le jour d’après ? le jour après le confinement ?
Balade en garrigue, rencontre fortuite…
Tout n’est pas si simple;
Après avoir marché longtemps, en sortie d’un tunnel, il a fait son apparition.
Il n’y a pas que du bon !
Un bateau qui meurt, est-ce toujours un déchirement ?
Ne me demandez pas pourquoi. Il y a des jours comme ça où on a envie aérien. Des jours ou de légers nuages, sans avoir l’air, jouent avec la lune qui n’a pas envie de se coucher.
La cité radieuse fut crée en 1952 par l’architecte Le Corbusier. Hormis les convictions et propos de l’homme largement critiquables, il en résulte qu’en termes d’habitation la cité radieuse demeure un modèle du genre.
Alexia et Nathalie, co-fondatrices de « A fleur de peau » fabriquent devant vous des bijoux éphémères en fleurs fraiches.
C’est un savoir-faire, acquis et perfectionné au fil des siècles qui se répète et se reproduit. Historiquement, à Anduze, ils étaient une douzaine de familles de potiers, aujourd’hui, ils ne sont plus que neuf, dont la Poterie de la Madeleine, fondée en 1987 par Vincent BIMAR et Roland ZOBEL. Guillaume, le fils de Vincent BIMAR, poursuit la tradition de cette passion familiale partagée qui rayonne désormais au-delà des frontières.
Le Service Départemental d’Incendie et de Secours de l’Hérault le SDIS34 est la plus grande plateforme d’appels commune aux numéros 15, 18 et 112 de France qui regroupe pompiers et SAMU.
Chaque année, à l’occasion de la journée mondiale des zones humides, le 2 février, aux Salines de Villeneuve-les-Maguelone, près de Montpellier est créé une galerie éphémère.
Lylou, est un voilier sloop de 8,50 m, habitable, tout en bois, construit en 1964. Il est la propriété, depuis 2015, de l’association Marseillaise Boud’mer. Chaque année le navire est mis à terre pour l’entretien des parties immergées.
Retour à l’accueil John et les réfugiés SETE 31 janvier [lire la suite…]
A 35 ans, Jérôme a tout plaqué. Mystère, chimie de la vie, arythmie des mathématiques, qu’est-il arrivé à ce brillant chimiste pour qu’il passe de la paillasse à l’atelier d’art et de la Start’up à l’auto-entreprise ?
Depuis 2009, se tient à Sète, le festival IMAGES SINGULIERES. Evènement de qualité, entièrement gratuit, c’est une occasion de découvrir des oeuvres, des photographes et des histoires.
Elle trône sur un désert comme un mythomane sur un royaume imaginaire. La flambante gare Sud de France de Montpellier, promet au voyageur non-averti, une expérience semée d’embûches et de complications.
Architecte de métier, toute jeune retraitée, Brigitte est aussi une grande navigatrice depuis son adolescence.
Marinette s’avance au comptoir en tendant son vieux téléphone portable au barman.
« On en avait un peu marre que notre laine soit considérée comme un sous-produit, alors on a monté notre propre collectif » dit Géraldine. Elle est éleveuse de brebis sur le causse Bégon, au-dessus de Nant en Sud-Aveyron.Depuis 2011, elle est membre d’un collectif : le syndicat des éleveurs de brebis Raïoles.
Nanda Gonzague, c’est son vrai nom, est aujourd’hui un photographe de presse. S’il est peu connu du grand public, ses photos, elles, le sont beaucoup plus.
Didier, la soixantaine bien tassée, vient de quitter la capitale pour travailler à Montpellier. Il a saisi une opportunité dans sa boite pour émigrer du nord au sud. Heureux possesseur d’un voilier amarré au cap d’Agde, il a trouvé tout naturel d’aller y résider.
Sur la grève désertée de la baie dépeuplée, ce pourrait être, ce devrait être le silence nocturne si caractéristique de l’endroit.
Matahi, le sait, nul besoin de s’aventurer trop au large, même en faible profondeur les eaux sont poissonneuses. Il suffit de passer la barrière de corail puis de plonger dans le liquide turquoise, de s’immobiliser et d’observer attentivement.
Le jeune capitaine se met en marche. Plus il s’éloigne de son embarcation, plus le silence fait place à des bruits inconnus, des sons étranges, des cris peut-être ?
Ça fait plusieurs heures que Matahi déambule, seul, entre ces étranges signes terrestres, inconnus jusqu’ici, ces bruits bizarres, il fatigue…
Le sable chaud, la fatigue, le corps en sueur, il s’allonge, il sent ses muscles se détendre, ses pensées s’émoussent, ses yeux mi-clos se ferment, son visage, fin est paisible et souriant. Il est rapidement dans un profond sommeil.
Lilia, groggy mais décidée, choisit d’emprunter le chemin lumineux, à découvert, celui éclairé par le soleil sournois et froid de l’hiver, celui qui monte un peu, vers le pont, celui qui passe nécessairement, fatalement, au-dessus des voies…
“Ce fut une terrible soirée” dit tout ému Marcello, “ enfin ce n’est que matériel, ce n’est pas grave, mais il se trouve que j’ai deux phobies, les serpents et les incendies”.
Des escaliers à profusion, des couloirs couverts de photographies comme dans une expo, un volume étrange en double ou triple étages, des colonnes, des murs ornés de peintures, comment dire, assez spéciales, puis tout à coup, dans une aile rénovée, tout un ensemble de chambres à coucher avec salle d’eau comme dans un hôtel…
“Vous verrez vous serez bien installée.” dit-il avec son sourire enjôleur. Deux pas sur un épais tapis suffisent à dévoiler le standing de l’immeuble…
Vous avez le choix, Netflix, Amazon, Disney, Youtube, je me suis abonné à tout. J’ai si peur de me réveiller un matin, totalement grabataire et de n’avoir plus rien à lire ou à voir que j’ai tout pris.
Ta, tajabóne deñeo e tajabóne, Abdu u yambal ñare malaicalá” l’eau se rafraîchit en même temps que le sax brésilien de Stan Getz s’estompe…
Le champ est libre. L’aubaine est trop belle. C’est l’occasion pour Lilia d’aller ouvrir les quelques portes de ce grand couloir et enfin découvrir ce que l’homme a caché derrière.
Le corridor est sans musique, ni éclairage. Seule la lueur provenant de la cuisine ouverte permet à Lilia de s’orienter. La blancheur des meubles et du reste des équipements en carrelage est glaciale. A cette atmosphère d’iceberg, s’ajoute le choix dévastateur de l’inox.
Décontractez vos muscles. Respirez calmement. Libérez cette tension qui vous empoisonne. Comptez sur moi, je vais vous y aider.
Marcello fait surgir dans la pièce d’à côté, les tambours, les cuivres et la voix du tonique Fela Kuti qui chante « Zombie, zombie… »
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